Au fil du temps l’humanité chemine en racontant ce qu’elle fabrique et ce qui la fabrique.
En ce 21ème siècle, de profondes mutations agitent les « relations entre », entre les esprits, les sociétés, les croyances, le climat ou la nature.
L’état d’esprit du processus « Mémoire, conscience et devenirs » engage à la fois un travail d’individuation et un recul sur le plan des événements collectifs. À la mémoire, j’associe les deux plans de l’inconscient personnel (pulsions, refoulements, dénis de réalité, défenses, narcissisme du moi…) et de l’inconscient collectif (histoire passée, organisations familiales et sociales, monde du travail, idéologies politiques, géopolitiques…) et de l’inévitable travail de conscience, de prise de conscience et d’émancipations qu’il y a lieu de faire pour que le futur ne tourne en boucle autour de l’indigéré.
La conscience n’a rien à voir avec la « bonne conscience », elle est une capacité à APPRENDRE À PERCEVOIR, À VOIR, À RESSENTIR, À PENSER ET À AGIR autrement, sur le plan personnel, relationnel et collectif. La lucidité qu’elle procure est à la fois joie d’une liberté vis à vis des multiples prisons et conditionnements et responsabilité de faire ce que nous pouvons quand nous le pouvons où nous le pouvons… en travaillant paisiblement et avec endurance sur le plan des causes, des scénarios inconscients et des architextures psychiques et vibratoires.
Nos connaissances sont déjà vastes (psychanalyse, neurosciences, médecine(s), sciences humaines, physique quantique…). Faire des liens entre ces connaissances permet de développer une approche holistique. Les liens entre les connaissances produisent des étincelles…
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